Les ailes du Paradis - 2017

                   Enquête sur des faits réels

LES AILES DU PARADIS

180 pages, prix de vente public 19 €
ISBN 9782956080411

Une enquête au coeur de Beaubourg
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n livre choc !

PREFACE DU LIVRE
"Tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser. il faut donc que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir"
Montesquieu, l’esprit des lois

 Parmi les histoires vraies, celle-ci est hallucinante ! La bêtise, la méchanceté et surtout l’impuissance collective cumulent ce qu’il y a de pire dans l’histoire cauchemardesque que vit Giuseppe malgré les mains tendues. Et cela dure depuis plus de sept ans !...
Comme le dit Montesquieu “il faudrait que le pouvoir arrête le pouvoir”....
Lorsque j’ai eu connaissance, en 2015 de cette horrible histoire, je n’ai pas réussi à fermer l’œil de la nuit...

Au fil de mes lectures sur facebook où une page était consacrée à Giuseppe, je me disais que tout ceci devait être dénoncé publiquement...
Je découvrais que le cauchemar qu’il vivait depuis cinq ans avait été commandité par une poignée de personnes, dont la mairie du 4ème arrondissement de Paris avec, à sa tête Christophe Girard.  
Giuseppe avait été expulsé manu militari alors qu’il avait toujours payé son loyer. Ses affaires avaient été dispersées sur le trottoir par l’huissier de justice venu le mettre à la rue.
Ne lui restait que sa vieille Mercedes garée devant son, dorénavant, “ancien” logement. Un choc psychologique épouvantable pour un homme de 65 ans avec une maigre retraite !
Retranché dans sa voiture il devait y rester jour et nuit..., 
Comment ceci était-il possible ?

Avant son expulsion, la mairie lui avait adressé des lettres d’avertissement. Habitant dans un tout petit logement de vingt mètres carrés, Giuseppe ne s’était pas méfié de ce qui l’attendait.
A cette époque la mairie était dirigée par le Maire socialiste Madame Dominique Bertinotti, élue en 2001 et qui lâcha son second mandat en 2012 pour prendre la fonction de Ministre déléguée à la famille sous le gouvernement Hollande.
Giuseppe payait un tout petit loyer aidé chaque mois par la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) qui complétait le montant du loyer réclamé.
Cet appartement de la rue Saint Martin qu’il occupait offrait un emplacement que beaucoup envieraient. Dénoncé par quelques voisins jaloux, pas toujours dans la légalité d’ailleurs, le gestionnaire La SGIM (Société de Gérance des Immeubles Municipaux), trouva pour faire le constat d’insalubrité un huissier de justice qui, selon les dires de Giuseppe, était syndic de copropriété de l’immeuble jouxtant celui de Giuseppe.
Il suffisait alors de déclarer à la CAF l’état d’insalubrité du studio de Giuseppe pour lui ôter toute chance de pouvoir y rester. En effet, sans une attestation de conformité du logement envoyée à la CAF, le locataire ne perçoit plus ses allocations.

Ses accusateurs lui reprochèrent de ne pas user de l’appartement en “bon père de famille”.
Au procès en première instance dont le jugement fut rendu le 5 février 2010, soit 6 mois avant l’expulsion, et l’arrêt de la cour d’appel du 16 février 2012, Giuseppe refusera l’inacceptable.
Pour lui, plusieurs pièces du dossier n’ont pas été produites par son avocat Maître Dominique De Gregorio. Par contre, la partie adversaire avait recueilli de multiples témoignages contre lui, dont certains semblaient plus que douteux...
Dans ce quartier du Marais, d’autres sans morale et sans cœur ne se gênent pas pour faire leurs propres lois en fonction de leurs intérêts personnels. Ils ont engendré, par un effet de groupe et de propagande de démocratie participative locale, la haine dont la victime est Giuseppe. Ils sont à ce titre doublement criminels.
Comme ce maître chanteur tout puissant, vêtu d’une veste rouge, qui avait menacé en vociférant contre Giuseppe “on vous écrasera comme une merde” !
Qui était donc cet homme pour être si certain de son coup ? Quelle relation entretenait cet individu avec la SGIM pour être aussi efficace ?
Le crime de Giuseppe n’a aucun équivalent avec la barbarie de ces individus.

En 2010, âgé de 65 ans, malade et déjà handicapé, le médecin avait pourtant délivré un certificat médical mais le tribunal et la cour d’appel n’en eurent que faire...
Actuellement c’est une créance de plus de dix mille euros (10 000 €) que Giuseppe doit. Chaque mois, le Trésor public lui prélève cinquante euros (50 €) sur sa pension de retraite de six cent euros (800 €) !
La SGIM devait trouver sans doute que depuis quarante ans, le loyer de Giuseppe n’avait pas grimpé suffisamment. Au prix du mètre carré à Beaubourg, un certain nombre de postulants au logement, bien sous tout rapport c’est à dire plaisant à l’intelligentsia de Beaubourg, auraient pu bénéficier du studio de Giuseppe en payant plus cher ! 

Mais le plus sur chemin pour continuer la route lorsqu’on n’a plus rien, n’était-ce pas de rester sur place ? Ce que Giuseppe a fait. Pas question de quitter son quartier....
Mais si le véhicule a changé, la police elle ne change pas. Elle martyrise, harcèle, dresse des procès verbaux, ordonne la fourrière semaine après semaine même lorsqu’il est hospitalisé. Giuseppe est traqué comme un animal que l’on chasse et que l’on finit par tuer d’épuisement. Il n’a jamais de répit.
Ceci ne suffit pas encore. La haine de certains habitants du quartier qui ne partagent pas la cause de Giuseppe le font souffrir par tous les moyens ; tags sur le camion, pneus crevés, seaux d’eau javelisée, chien d’attaque, laser dans les yeux. D’autres le font tomber ou lui crachent dessus et l’insultent. La liste est malheureusement trop longue...

Giuseppe veut témoigner. Il veut nous expliquer.
Ouvrons notre esprit. Gardons notre intelligence pour écouter et après nous nous ferons notre idée sur les choses, sans à priori, juste parce que nous avons décidé que la morale et le cœur sont les deux piliers qui fait que l’homme vit et meurt debout. 
La vie de Giuseppe est un pur cauchemar, un enfer sur terre où des êtres humains le haïssent de plus en plus fort.
Personne ne résiste à la méchanceté permanente, à l’humiliation et aux agressions verbales et physiques régulières.

Giuseppe est un contre pouvoir que les habitants du Marais ne s’attendaient pas à rencontrer sur leur chemin. Lui, le combattant italien venu de Calabre en 1970 ne comptait pas en rester là.
C’est grâce à son idéal qu’il réussira à survivre. Le besoin de vivre pour quelqu’un ou pour quelque chose qui nous est cher nous permet de rester debout...

En juin 2016, j’ai écrit un livre “Les oiseaux de la colère” qui retrace une partie de l’histoire de Giuseppe et pose la question cruciale de la liberté d’agir et de penser dans la société actuelle.

Si la ministre de la famille n’a rien fait. Si François Hollande n’a rien fait non plus, si Anne Hidalgo n’a rien fait, le maire actuel de Paris 4, Christophe Girard lui, n’a fait qu’aggraver la situation de Giuseppe Belvedere.
Seules la médiatisation et l’action judiciaire pourront sortir Giuseppe de cet enfer. Si “l’inferno” est pour lui actuellement sur terre “l’espérance est une attente certaine de la gloire future, que produisent la grâce divine et nos précédents mérites” comme le dit Dante Alighieri dans la Divine Comédie parlant du Paradis.
Le livre “Les ailes du paradis” - Le ali del paradiso - en italien, retrace des propos des vidéos issues des sites internet comme facebook ou you tube.
Giuseppe Belvedere a voulu témoigner de son martyr. Il retracera dans ce livre des épisodes dramatiques de sa vie.
Il veut dire à cette mairie ainsi qu’aux élus qu’ils auront un jour en face d’eux non seulement le petit grain de sable de trop qui les fera basculer, mais aussi la voix de leur conscience.
Longue vie au soldat Giuseppe !
Marie-Simone Poublon
Il est surprenant de voir à quel point Christophe Girard, Maire du 4ème arrondissement de Paris, s’est personnellement emparé du “problème Giuseppe”, de sa vie et de sa voiture ! La démocratie participative où les “milices populaires” sont chargées de faire régner la loi est un prétexte pour assouvir, sous couvert de la toute puissance du Maire Christophe Girard et au dessus de lui, Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo, les desiderata de la communauté du Marais.
C’est avec une grande facilité que le citoyen et habitant Giuseppe se retrouve “à la rue”....L’organisateur ou le bras armé de cette toute puissance locale, est le conseil de quartier, la préfecture et le centre d’action sociale. Bref tout ce petit monde travaille à la destruction d’un homme ! Dans l’univers assaini et voulu par les deux maires Dominique Bertinotti et Christophe Girard, une personne qui n’a plus rien à toute les chances de “crever”. (Extrait chapitre 4 Je suis un citoyen)

J’étais étranglé. Un véritable acharnement avait commencé. Je ne comprenais pas pourquoi. Et puis ils m’ont saisi le compte bancaire, les meubles, ma retraite. Ils ont envoyé l’huissier. Toutes les semaines je recevais une lettre de l'huissier. C'était invivable. A la fin je me suis dit "je ne vais plus chercher les courriers, je n'en ai plus la force". Et puis, je me suis dit "ils ne vont pas me tuer quand même". c'était un acharnement de la mairie. je me demandais comment on pouvait faire ça. Je suis un citoyen comme tout le monde. J'ai travaillé. Je ne suis pas un délinquant...je mène une vie paisible. Je n'ai jamais eu d'histoires avec personne....(Extrait chapitre 3 Giuseppe persona non grata) 

Ils sont venus chez moi avec l’excuse que le commissaire voulait me parler...Ils m’ont fait déshabiller. Je suis resté en slip. Le commissaire, madame B. est venue et elle m’a dit “vous êtes fou pour donner à manger aux pigeons”. On va vous envoyer à Sainte Anne pour vous faire voir par un psychiatre. Un commissaire n’a aucune compétence en psychiatrie. Ils m’ont envoyé là bas. Je suis resté un jour. Le lendemain matin, le professeur est venu et m’a parlé puis m’a fait partir tout de suite. Et comme si ce n’était pas assez, six mois plus tard ce fut la même chose. Trois policiers m’attendaient, ils m’ont dit que le commissaire voulait me parler. Il n’y avait aucune alternative. Je devais les suivre en sachant qu’ils allaient me conduire de nouveau à Sainte Anne et cela a recommencé. Je me suis sauvé pour rentrer au camion (chez moi)... J’ai couru mais un policier était assis au coin dans un bar. Il m’a barré la route. Puis sept policiers m’ont jeté à terre et j’ai été tabassé. L’un me prenait les bras et l’autre me mettait les menottes, un autre me tordait la jambe, puis un autre l’autre jambe et un autre m’écrasait de tout son poids sur mon dos et avec les genoux il poussait vers le bas et les autres poussaient vers le haut. Moi je disais “mais pourquoi, pourquoi ?” Et puis l’un d’eux m’a pris par les cheveux et m’a claqué la tête par terre.  
Ils m’ont cassé les côtes. Ils devaient me ramener à Sainte-Anne et malgré la douleur que j’avais, ils m’ont refusé un verre d’eau....(Extrait chapitre 4 Je suis un citoyen)

Les parents n’éduquent plus les enfants comme il faudrait, car il sont trop occupés. Le matin ils les déposent à la garderie, le soir ils les reprennent et lorsqu’ils arrivent à la maison, les parents font le ménage, la cuisine, les courses…les enfants ne peuvent pas grandir équilibrés. Elever les enfants mérite un gros salaire parce que la femme qui travaille gagne une misère comparée à l'éducation des enfants. c'est eux qui dirigeront le monde après. C'est eux qui seront le monde...(Extrait chapitre 11 L'homme est nocif à l'humanité) 

Dante Alighieri parlait d’un saint dans sa “Divine Comédie”, de ce qui était bien et de ce qui était mauvais, de ceux qui ont fait le mal, des méchants, des criminels. Mais il disait “il y a une seule sorte de gens que je n’aime pas, ce sont les ignari”. L’ignari…. Ce sont ceux qui n’avaient jamais rien fait de leur vie, ni de bien, ni de mal, qui ont vécu comme s’ils n’avaient pas vécu.” (Extrait chapitre 11 L'homme est nocif à l'humanité)

Monsieur le maire Christophe Girard, vous aussi un jour vous aurez (peut-être) 72 ans, et (peut-être), nous l'espérons, mauvaise conscience....(Extrait de "il y a pourtant une solution simple")

Giuseppe traîne sa croix derrière lui….jour après jour, année après année depuis 2010, le coeur lourd et l’âme en peine.
Ses deux caddies l’accompagnent mais aussi lui permettent de marcher tout en gardant un équilibre. Sa colonne vertébrale est gravement endommagée.
Ne jugeons pas Giuseppe.
Tirons les leçons de ce qu’il nous enseigne. C’est un humaniste au service de la vie, alors que les bobos de Paris ne voient que leurs propres fientes sur le trottoir. Giuseppe nous fait lever les yeux vers le ciel, nous fait regarder le vol des oiseaux, nous ouvre à la liberté et à l’élévation spirituelle. Puissent tous les parents de France comme Jérôme instruire leurs enfants en leur faisant aimer la beauté, la liberté et le sens d’une vie, l’amour, le courage de s’opposer à la crétinerie et à toute chose décadente.
Beaucoup d’entre nous se seraient sauvés, seraient retournés en Italie ou partis ailleurs pour trouver de meilleures conditions. Pas lui. Il nous donne en échange de sa vie, une leçon de sagesse. Heureux soient ceux qui l’entendent… (Extrait de la postface de Marie-Simone Poublon)


Résumé : Giuseppe a vécu plus de quarante ans dans le quartier du Marais, 4ème arrondissement de Paris, et il a vu ce quartier populaire se transformer petit à petit en quartier de "petits bourgeois" ou plus populairement "bobos". Evidemment les conséquences sociales se font sentir et il est dit que les locataires au loyers bas sont confrontés à des pressions pour quitter leurs logements devenus convoités par les nouveaux socialistes enrichis qui veulent moraliser la vie des autres alors qu'ils sont porteurs de toutes les "nouvelles tares" issues de la société ouverte. Cette même société qui réduit à néant toutes les valeurs et les vertus des anciens, tuant hommes, oiseaux et tout ce qui dérange..." 
Photos DR "les amis de Giuseppe" 
TOUS LES DROITS D'AUTEUR 
VONT A GIUSEPPE & A SA CAUSE
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